Bâtissons ensemble

Le podcast officiel des Chantiers d’actions et de recherche pour des Francophonies inclusives de l’Université d’Ottawa

Kathi Kawtar

Productrice

D’origine marocaine. Actuellement, elle complète son baccalauréat à l’université d’Ottawa dans le programme d’étude de développement international et mondialisation. Elle a produit les podcasts et a contribué à la mise sur pied du site web des CarFfi. Grace aux témoignages poignants révélés lors des évènements organisés, elle a pris conscience de l’existence du racisme au sein des universités. Se considérant elle-même comme une minorité et étant immigrante, elle affirme que son travail avec les CarFfi lui a permis d’ouvrir les yeux au sujet des discriminations au sein des Ffrancophonies.
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Leaders Noirs en milieu universitaire

Événement organisé par le GaCran

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Une table ronde présidée par la professeure Donatille Mujawamariya, Ph.D. Les trois honorables panélistes sont : le professeur Sanni Yaya, le professeur Boulou Ebanda de B’béri et finalement le professeur Francis Bangou. Les trois panélistes exposent les difficultés qu’ils rencontrent en tant que leader Noir puis présentent des stratégies concrètes pour la reconnaissance des Noir.e.s et du racisme dont ils sont victimes, pour la réparation et pour la réconciliation de tous le membres de la communauté éducative universitaire.

Francis Bangou, Ph.D.

Vice-doyen


Vice-doyen à la gouvernance et aux affaires étudiantes et professeur agrégé en didactique des langues secondes (français et anglais).
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Sanni Yaya, Ph.D.

Professeur Titulaire


Professeur titulaire à l’École de développement international et mondialisation et titulaire de la Chaire Senghor sur la santé et le développement et vice-recteur International et Francophonie.
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Boulou Ebanda de B'béri, Ph.D.

Professeur Titulaire


Professeur titulaire à la Faculté des arts et conseiller spécial au comité antiracisme et inclusion à l’Université d’Ottawa.
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Ffrancophonies inclusives et (in)sécurité linguistique

Événement organisé par PAC

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La diversité langagière des Ffrancophonies doit être prise en compte dans la construction de Ffrancophonies inclusives. L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) considère que « la prise en compte des variétés du français et la valorisation des langues en contact avec le français constituent également un enjeu majeur pour l’espace francophone ». Le chantier Parlons avec confiance (PAC) œuvre à reconnaître les inégalités langagières par la mise en lumière de leurs impacts dans l’expérience scolaire des personnes ayant le français pour langue d’expression, à la réparation des cicatrices langagières par le dialogue émancipateur, l’élaboration de principes directeurs et d’actions stratégiques pour contrebalancer les actions oppressives de la discrimination langagière et à réconcilier les groupes sociaux francophones entre eux. La causerie Ffrancophonies inclusives et (in)sécurité linguistique se veut être un premier espace de dialogue émancipateur.
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Andrea Burke-Saulnier

Professeure agrégée


Professeure adjointe au Département des sciences de l'éducation à l'Université Sainte-Anne.
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Hannah Sutherland, M.A.

Étudiante au Doctorat


Étudiante au doctorat en éducation à l’Université d’Ottawa.
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Martin Kreiner

Vice-Président


Vice-président et membre du bureau de direction de la Fédération jeunesse canadienne-française depuis septembre 2021. Aujourd’hui, il travaille en communication et marketing à Ottawa et demeure mordu par la politique et la planification stratégique.
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L’alliée et l’allié dans la lutte contre le racisme anti-Noir

Événement organisé par GaCran

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Au regard des situations de racisme anti-Noir qui prévalent dans nos collectivités, de nombreuses personnes, autres que les membres des communautés noires, reconnaissent l’existence de ce fléau et désirent s’engager avec ces derniers à le combattre. Il s’agit d’un engagement à reconnaître et respecter la dignité de la personne noire, à participer activement à la réparation des inégalités historiques et actuelles causées par le racisme anti-Noir et à réconcilier la biographie collective en utilisant tout privilège pour contrer l’oppression de l’identité noire. Cet engagement pour un changement radical soulève un questionnement sur la place de « l’Autre » en tant qu’allié et alliée dans la lutte contre le racisme anti-Noir. Cette causerie – débat présentera la position de trois personnes noires, membres de GACRAN, sur cette question de l’allié et alliée. Sous la conduite de la professeure Phyllis Dalley, Jean-Marie Vianney, Elie Ndala et William Tcheumtchoua Nzali présenteront leurs perspectives expérientielles de l’allié et alliée en répondant aux questions suivantes : Que signifie pour vous le fait d’être allié et alliée ? Quels sont ses rôles ? De quelles manières aborder les questions de racisme et de discrimination dans nos communautés avec l’allié et alliée ?  
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Jean-Marie Vianney

Acteur Communautaire


Diplômé en communications sociales et en résolution de conflits à l’Université Saint-Paul d’Ottawa, Jean-Marie Vianney est un acteur communautaire pluridisciplinaire affilié au Conseil national de la presse et des médias ethniques. Il est aussi membre co-fondateur de GACRAN.
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William Fils Tcheumtchoua Nzali

Étudiant International


D’origine camerounaise, William Fils Tcheumtchoua Nzali est un étudiant international au doctorat à la faculté d’éducation de l’université d’Ottawa et membre co-fondateur de GACRAN.
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Elie Ndala

Doctorant en Éducation


Doctorant en éducation à l'Université d'Ottawa et membre co-fondateur de GACRAN.
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À l’ombre de la langue légitime

Événement organisé par PAC

C’est lors d’un séjour en France pour entreprendre des études de cycles supérieures que l’auteure prend conscience de sa différence : elle parle le français mais pas celui des Français et elle en ressent un sentiment d’étrangeté. Elle ne sait pas encore qu’elle est en train de vivre une expérience marquante qui constituera le ferment de ses recherches universitaires. C’est à travers ce parcours et celui des personnes rencontrées lors des enquêtes en Acadie qu’elle questionne les processus à la base de la légitimation linguistique. Le livre s’inscrit dans une sociolinguistique qui montre comment la langue fabrique de la différence, comment elle crée des catégories sur la base des pratiques linguistiques jugées légitimes selon les lieux. Lien vers l’événement

Annette Boudreau

Sociolinguiste

Annette Boudreau, sociolinguiste, est professeure titulaire au département d’études françaises de l’Université de Moncton. Elle a été codirectrice du Centre de recherche en linguistique appliquée de l’Université de Moncton avec sa collègue Lise Dubois de 1996 à 2001 et directrice jusqu’en 2003. Elle analyse les liens entre pratiques et représentations linguistiques, construction identitaire et structuration sociale dans les communautés minoritaires francophones du Canada. Elle s’est particulièrement intéressée au concept de sécurité/insécurité linguistique et à ses applications en Acadie des Maritimes.
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Projection d’un extrait de «Briser le code» et table ronde

Événement organisés par GACRAN

Ce podcast est présenté par GaCran (Groupe d’action contre le racisme antinoirEs). Après la projection d’un extrait de « Briser le code », suivi d’une table ronde, trois acteurs du monde scolaire se sont posés les questions suivantes : Existe-t-il un code en éducation ? Qu’est-ce que ça prend pour briser le code ? Pour les personnes majoritaires, quelles sont les conséquences de prendre conscience des codes en place ? Est-ce que ça vaut la peine de briser le code ou de prendre conscience de ses privilèges ?
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Allison Gagné

Enseignante


Une enseignante qui a pris conscience de ses privilèges. Elle s’est rendue compte de son privilège comme enseignante blanche lorsqu’elle s’est rendue au Madagascar pour y enseigner le français. Elle a continué d’explorer cette question dans sa thèse de maîtrise, qui porte sur l’expérience de réussite en stage de formation à l’enseignement de stagiaires d’Afrique subsaharienne.
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Elie Ndala

Étudiant


Étudiant de l’UOttawa qui a brisé le code. Candidat au doctorat, boursier Ricard et enseignant de formation, Elie Ndala s'intéresse à l'insertion sociale et professionnelle des immigrants en contexte francophone ainsi qu'à la reconstruction des relations interculturelles dans la sphère éducative. Il provient d'un foyer d'immigrants de première génération et est déterminé à contribuer au changement menant à la reconnaissance, à la réparation et à la réconciliation entre sa communauté d’origine et celle qui l’a adopté.
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Albert Djé

Directeur


Albert Djé est docteur de l'université de Lorraine en France et Directeur de l'École la Mosaïque pour le compte du FrancoSud. Originaire de la Côte d'Ivoire, en Afrique de l’Ouest, il a notamment complété un Diplôme d'Études approfondies (DEA) puis un doctorat en littérature africaine, études postcoloniales. Il détient également un Baccalauréat en éducation, de l'Université d'Ottawa. Il a été chargé de cours à l'Université Paris 12, actuelle Université de Créteil au département de langues étrangères. Il a également brièvement enseigné à l'université de Bouaké en 2009. Il est arrivé au Canada en 2008, et en Alberta en 2012. Il est directeur de l'École la Mosaïque pour le compte du FrancoSud depuis 2018. Étudiant de l’UOttawa qui a brisé le code. Candidat au doctorat, boursier Ricard et enseignant de formation, Elie Ndala s'intéresse à l'insertion sociale et professionnelle des immigrants en contexte francophone ainsi qu'à la reconstruction des relations interculturelles dans la sphère éducative. Il provient d'un foyer d'immigrants de première génération et est déterminé à contribuer au changement menant à la reconnaissance, à la réparation et à la réconciliation entre sa communauté d’origine et celle qui l’a adopté.

L’école de langue française - brasser les idées

Événement organisés par CARFfI

Les Chantiers d’Actions et de Recherches pour des Ffrancophonies inclusives (CARFfI.ca) ont le plaisir de vous inviter à la table ronde « L’école de langue française – brasser les idées ». Il s’agira d’une discussion avec trois leaders en éducation. Depuis l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et des libertés, de la loi sur les langues officielles, de la politique canadienne du multiculturalisme, la société canadienne a bien changé et les communautés francophones et acadienne aussi. Est-ce que le mandat actuel des écoles de langue française est toujours d’actualité ? Quels éléments du mandat seraient à retenir et lesquels seraient à modifier ? Comment en assurer la mise en œuvre pour bâtir des Ffrancophonies plus justes et plus équitables ?
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Roda Muse

Secrétaire générale de la Commission canadienne
pour l’UNESCO


Roda Muse est secrétaire générale de la Commission canadienne pour l'UNESCO depuis mai 2021. Auparavant, elle était gestionnaire au ministère de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique du Canada. Elle a également travaillé comme directrice régionale de l'Ontario à Condition féminine Canada. Elle est conseillère scolaire et ancienne vice-présidente au Conseil des écoles publiques de l'Est de l'Ontario (CEPEO), membre du Consortium dirigeant le Centre Jules-Léger, membre du conseil d'administration de l'Hôpital Montfort et membre du comité aviseur de l’Institut Harriet Tubman de l’Université York. Très active dans la communauté francophone, elle a fait partie de la Table féministe francophone de concertation provinciale de l'Est de l'Ontario, du Conseil d’administration de La Cité collégiale et de l’Équipe de santé familiale de l'Est de l'Ontario. Roda Muse a co-fondé la Fondation Acacia, un organisme de charité visant à encourager l’excellence chez les jeunes francophones des minorités visibles, à travers l’éducation et le mentorat.

Denis M. Chartrand

Président du conseil d’administration
de la FNCSF

Denis M. Chartrand est membre du conseil d’administration de la FNCSF depuis 2011 et en assure la présidence depuis octobre 2021. Il est également le président de l'Association des conseils scolaires des écoles publiques de l'Ontario, ainsi que membre du CA de l'Association canadienne des conseils et commissions scolaires.

Ingénieur de formation et fier franco-ontarien, Denis M. Chartrand a été élu conseiller scolaire au Conseil des écoles publiques de l’Est de l’Ontario pour la première fois en 1991 et travaille depuis à la protection des droits et à l'avancement des écoles de langue française.

Très impliqué auprès de sa communauté, il a aussi siégé à plusieurs CA, dont celui de l'Hôpital Montfort et de la Société de logement communautaire d'Ottawa.

IDENTIFIER ET ANALYSER LES DISCRIMINATIONS LINGUISTIQUES

Événement organisé par PAC

Rejoignez les CARFfI pour une activité offerte par Parlons avec Confiance (PAC) : « Identifier et analyser les discriminations linguistiques », un dialogue visant à démystifier le concept et à comprendre son application en contexte breton, acadien et franco-canadien. Les CARFfI ont le plaisir de vous inviter à une table ronde organisée par PAC (Parler avec confiance), « Identifier et analyser les discriminations linguistiques ». Assistez à une discussion sur le thème avec le sociolinguiste à l’origine du concept « glottophobie », le professeur Philipe Blanchet. Lors de cette table ronde, nous définirons le concept et nous explorerons son incidence sur la recherche en contextes breton, acadien et dans la francophonie canadienne plus largement.
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Philippe Blanchet, Ph.D.

Professeur

Professeur et chercheur en sociolinguistique et en didactique de la communication plurilingue et interculturelle à l’Université Rennes 2, en Bretagne. Il est spécialiste du provençal, des variétés du français et du plurilinguisme dans les espaces francophones. Il est à l’origine du concept de glottophobie qui décrit la « discrimination linguistique » et la publication de son ouvrage sur cette question en 2016 a connu un écho important.
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